Non, tu n’es pas le seul à avoir envie de voyager et de tout plaquer

Pas besoin de grande théorie, les amis. Quand on a envie de tout plaquer, quand on a envie de voyager, ça nous prend les tripes.

Ya rien à faire.

On a simplement envie de voyager à l’autre bout du monde…

Si vous avez atterri sur ce blog, c’est pour trois raisons principales. Peut-être l’une des raisons ou peut-être, toutes en même temps.

Je reprends ici toutes les raisons qui devraient fédérer les lecteurs de ce blog dédié au travail en ligne.

Vous nourrissez le désir de plus en plus fort d’être libre d’aller où vous le voulez et quand vous le voulez

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Oh, comme je vous comprends. Une fois qu’on est dans le monde du digital nomadisme ou du freelance ( oui, c’est proche), ça nous parait incroyable de penser être obligé de rester à un endroit fixe.

Peut-être l’homme est un nomade éternel et la sédentarité n’est qu’une option. Peut-être que parmi nous, il y a des sédentaires, des nomades comme il y a des homos ou  des hétéros. On ne choisi pas, j’ai tendance à penser ça. Et vous?

Du coup, si vous êtes tombés du mauvais côté de la balance, vous pouvez simplement vous réjouir d’être au moins tombés à la bonne époque. 10 ans en arrière, et vous pouvez vous fourrez là ou je pense vos envies de vivre là où vous voulez.

Y a pas si longtemps que ça, et pour pas mal de vieilles lanternes, nomad = clochard= grosse fainéasse qui s’ignore.

Au moins dans les années 60, les hippies ( beaucoup de digital nomad sont des néo-hippies malgré eux) cachaient leurs désinvolture derrière des grandes valeurs humaines. Oui, mais on sait tous que c’était pour fumer des pétards librement qu’ils ont fait leurs manifestation. WoodStock n’est qu’un grand festival d’hédoniste. De M

Peut-être même que vous êtes une faignasse en plus d’un être un nomad? C’est possible, c’est pas incompatible. Moi-même, même si j’ai mis beaucoup d’années à l’admettre, je reste une bonne grosse minimaliste qui aime les choses essentielles.  Active, mais faignasse, c’est pas non plus incompatible. Donc, si c’est votre cas à vous aussi, relâchez-vous. On est entre nous, maintenant.

On va parler de votre envie de voyager et on va voir comment ce n’est pas incompatible avec les modes de vies d’aujourd’hui….

Puis, on peut du coup passez à la 2ème raison qui peut vous amener à lire ce blog.

Vous n’en pouvez plus de vous lever le matin et d’être coincé dans cette cage qu’ils appellent b(o)ureau?

Ouai, ouai. Là, c’est vrai, c’est pas vraiment une question de fainéantise. C’est plutôt une question de tolérance et de résilience.

Je connais beaucoup de personnes qui adorent aller au bureau. Vraiment, c’est pas ironique. Je veux dire, l’image du bureau ou du travail salarié n’est pas à blâmer du tout. C’est vraiment encore une fois, une question de goût et de tempérament.

Alors que d’autre adorent l’idée du bureau, des collègues, des horaires fixes et des salaires fixes, d’autres en ont la gerbe. Que voulez-vous qu’on  y fasse?

D’ailleurs, je me suis longtemps voulu d’être aussi réfractaire aux horaires de bureau. Car, pour moi, ce qui me dérangeait le plus dans cette vie de salariée, c’était bien les horaires. Je ne comprenais pas pourquoi il fallait absolument venir à telle heure. J’ai même été employé d’un bureau où tu étais rembaré si tu venais à 9h5. OUI!  Je parle de 5 minutes! En fait, j’en reviens toujours pas, je vous jure. Ça m’a choqué. Je me souviens avoir démissionné en ayant eu la nausée de cette dictature de la minute. En plus, je fumais, donc, même prendre une pause clope, c’était calculé.

Me rendre compte que j’étais condamné à mendier des minutes et des heures  de ma vie a clairement été le déclencheur ultime de mon choix de devenir freelance. C’est pas vraiment l’envie de voyager qui n’animait personnellement mais bien l’envie, le besoin de liberté. C’était purement et simplement inacceptable pour la rebelle que j’étais et que je reste?

Bref, voilà donc la deuxième raison. Qu’en est-il de la troisième?

Vous n’en pouvez plus de bosser bêtement pour un salaire qui ne montera jamais

Oh mon Dieu, quand j’y pense, j’ai des frissons. L’idée de bosser pour un mauvais gars de première qui nous fait trimer et nous paye à la limite du possible. Bon, bien sûr, le salariat ce n’est pas qu’un tableau noir. Il y a en plus pas mal de boulot où on est bien traité par la hiérarchie. Surtout, c’est franchement très plaisant d’avoir un salaire fixe.

Mais, que fait-on quand on voit, quand on sait que ce salaire ne sera jamais ou presque plus élevé? C’est là que ça fait mal, l’absence de perspective.

Si c’est précisément un aspect qui vous déplait dans votre vite professionnelle actuelle, alors, oui, on peut probablement trouver de meilleurs options en ligne.

Pour conclure:

Si toutes ces raisons se cumulent chez vous, je pense que vous n’avez pas le choix de penser peut- être au fait de travailler en ligne? Au fait, de pouvoir travailler où vous le voulez sans plus jamais souffrir du fait d’avoir envie de voyager….

Je vous souhaite donc la bienvenue chez vous.

 


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