Pablo Escobar : Portrait d’un business hors pair ou les 7 leçons de business de Pablo Escobar, l’homme derrière le plus grand empire de la drogue jamais créé.
( Note : Pour ceux qui préfère, j’ai également fait une vidéo à son sujet : voir la vidéo sur Pablo Escobar).
Je sais, je sais. Ce n’est pas tous les jours qu’on nous dit qu’il faut s’inspirer d’un baron de la drogue pour mener à bien son business.
Mais bon, honnêtement, si on retire le côté illégal et produit illicite, on ne peut qu’apprécie le génie des affaires de Pablo Escobar.
En fait, on a tendance souvent à ne parler que de la partie criminelle de sa vie. Mais au-delà de cela -et lorsqu’on met la morale de côté un moment- force est de constater qu’on avait affaire à un véritable maitre en ce qui concerne la gestion d’un business.
La pénétration du marché, l’adéquation produit / client, la gestion de la chaîne d’approvisionnement, la croissance et la rentabilité
Tout ces éléments ont en fait fait été parfaitement maitrisé par le seigneur des cartels de drogue, certes mais surtout un redoutable homme d’affaire.
C’est sous cet angle que je vous propose – dans cet article- d’observer Pablo Escobar.
E oui, à l’apogée de sa puissance, Pablo Escobar encaissait 20 millions de dollars par jour. J’ai bien dit par jour. Forbes d’ailleurs, l’a nommé le septième homme le plus riche du monde avec une valeur nette de 25 milliards de dollars.
Quand on parle d’empire ici, c’est pas de blague. On parle bien d’un gars -parti de zéro- qui à réussi à gagner plus d’argent que la grande majorité des hommes sur Terre.
Alors, oui, hélas, il tué des tas des personnes, et beaucoup d’innocents, oui, il a utilisé la force et violence pour parvenir à ses buts, mais pout cette vidéo où on va s’intéresser plus à sa tune qu’au sang qu’il a fait couler, imaginez qu’au lieu de vendre de la cocaine, il vendait autre chose.
Car, c’est ça qu’il en ressort quand on analyse sa vie et ses stratégies commerciales. S’il avait choisi un autre filon, il serait allée certainement tout aussi loin.
Imaginez qu’il ait vendu du mais ou de la poudre de cacao, et vous verrez en quoi, son talent pour faire des affaires est énorme.
Au sommet de sa carrière, Escobar exportait environ 15 tonnes de cocaïne par jour et employait plus de 2000 personnes, c’est pas tous les jours qu’un entrepreneur peut se vanter de gérer une telle entreprise.
Qu’on aime ou qu’on aime pas, il faut quand même reconnaitre son incroyable talent de business man. Il s’avère donc judicieux et pertinent d’analyser ses actions d’un point de vue du business pur, des finances et de l’enrichissement personnel.
On va voir donc 7 leçons que chaque entrepreneur peut s’inspirer l’un des criminels les plus connus au monde. Même si dit comme ça, j’ai conscience que c’est un peu « chelou ».
Même si son entreprise n’est pas très catholique, il a géré son affaire – en partant de zéro- avec brio. D’autant plus qu’il s’agit d’un business complexe entre la création de la marchandise jusqu’à sa vente. Sans parler des obstacles réelles et très risqués qu’il faut surmonter. Entre tuerie, meurtres, rendement de compte, mensonger calomnie et traitrise, il faut être un véritable tacticien, un maitre de la stratégie pour durer et prospérer dans ce business. Tout cela, Escobar l’a fait.
1/ Avoir un très bon produit:
Pablo Escobar s’est donné beaucoup de mal pour s’assurer que son produit était le meilleur du marché. La marque de cocaïne colombienne pure d’Escobar a été plébiscitée par le marché américain de plus en plus exigeant. C’est surtout pour la qualité de son produit qu’il a pu – au somme de sa carrière- a voir les 80% de part de marché. Oui, c’est presque un monopole.
Une bonne entreprise, qui se veut prospère doit surtout et ça doit être même la base de son expansion, proposer un produit de qualité.
Escobar n’a jamais cru que la baisse des prix serait un bon moyen de parvenir à ses fins. Si le produit était de bonne qualité, il n’était pas nécessaire de le vendre à un prix moins cher. Il se vendrait tout simplement.
Là, c’est une belle leçon de business que beaucoup d’entreprises qui revive t manque cruellement de discernement.
2. S’ouvrir progressivement à de nouveaux marchés:
Commencer par les marchés les plus faciles. C’est en effet ce que Pablo Escobar à fait en choisissant les États Unis certes, mais les meilleurs régions.
Par exemple, il a commencé par Miami car d’un point de vue logistique, c’était beaucoup plus abordable. Il y avait aussi la bonne clientèle. De même, avant de s’étendre à d’aitres régions comme New York, Pablo Escobar à pris son temps.
Il n’a attaqué le marché ne yorkais bien plus prolifique une fois que son business était bien implanté à Miami et que ça tournait bien.
Pour le business c’est une très bonne que d’étendre son business progressivement.
Beaucoup d’entrepreneurs se cassent précisément les dents en voulant grandir trop vite ou en voulant absolument entrer dans des marchés qui sont difficiles.
3. Aux grands risques; de grandes récompenses:
Au départ, l’incursion d’Escobar dans le monde de la contrebande impliquait la contrebande de cigarettes et d’alcool. Bien que les marges bénéficiaires soient assez bonnes, cela ne justifie certainement pas les risques encourus pensait-il. De fait, il était connu pour verser de grosses primes aux personnes qui bossaient pour lui.
Il a pu grâce à une politique de salaire élevé ( si l’on peut parler comme ça dans ce cadre là), attirer un personnel qualifié.
Les sicarios et autres personnes qui travaillaient pour lui savaient pertinemment que jamais ils ne seraient mieux payés ailleurs;
Ainsi, ils étaient entièrement dévoués à Pablo et faisaient correctement le travail.
Là encore, quelle bonne leçon de business! Combien d’entrepreneurs lésinent sur les salaires. Cela peut être aussi avec le prix pour des services. Comment voulez vous que vos salariés travaillent correctement si vous le verrez un salaire de mISÈRE?
C’est quand même une leçon d business basique me semble-il? Tout travail mérite salaire, oui, mais un bon salaire vous assurera un travail bien fait. CFD.
4/ Créer un cadre de travail agréable et productif
Aujourd’hui, c’est la mode que d’avoir dans sa boite un happiness officer. Même si ça peut paraitre ridicule de prime abord, ce sont des métiers qui ont la côte, surtout dans les jeunes start-ups. Pourquoi? Eh bien, c’est une personne qui va faire en sorte que les membres du personnes se sentent bien. Organisation de sorties, amusements et jeux sont par exemple des activités qui seront mis en place pour rendre l’atmosphère au travail agréable.
Eh bien, sachez que dans sa propriété « Hacienda Napoles », Escobar avait un zoo privé. C’est-à-dire qu’on pouvait voir des hippopotames, des girafes, des éléphants et pleins d’autres animaux.
Bien sur il aimait certes les animaux mais cela donnait donc à la maison une atmosphère des plus agréables.
10 résidences et 1700 employés travaillaient activement dans cette hacienda. Tous ont affirmé- selon les rumeurs et dires de l’époque- que tout se déroulait bien.
5. Gardez vos amis proches et vos ennemis plus proches ENCORE:
Pablo Escobar a uni ses concurrents avec une promesse d’assurer la prospérité des cartels colombiens de la drogue dans son ensemble. En gros, il à noué des partenariats avec ses concurrents pour trouver un ennemi commun.
Fin négoce et très bon stratégie, il a évité pendant de nombreuses années la folie des combats de marché entre concurrents.
À la place, ils ont négocié et ce, dès le départ, des terres pour chaque cartel.
Plus encore que de simples partenariats, Pablo à réussi à créer de nombreux partenariats win-win. Par exemple, il a négocié un accord avec le cartel de Cali, son plus proche rival selon lequel ils pourraient utiliser ses routes commerciales en échange d’une part de leurs bénéfices.
Cela témoigne d’une grand intelligence au delà du fait que ce soit éminemment pratique pour tous les business.
Si les entreprises actuelles savaient négocier entre elle- comme se mettre d’accord sur des marchés respectifs, on verrait beaucoup d’entreprise prospères que nous le voyons de nos jours.
Savoir faire des partenariats est en effet essentiel à toute entreprise qui se respecte.
6 / Une redistribution de sa richesse
Toutes ses activités en faveur des pauvres lui ont valu le surnom de « Robin Hood », soit Robin des Bois.
Par rapport à beaucoup de millionnaires qui gardent tout pour eux, on peut quand même souligner la générosité de Pablo Escobar. D’ailleurs, s’il y a autant de personnes qui dans le pays le soutiennent encore, et ce, malgré tout ce qui’l a commis d’illégal. C’est notamment en raison de ces oeuvres de bienfaisances très nombreuses dans le pays.
Il a construit et financé de nombreuses constructions d’églises et d’hôpitaux. Il a été à l’originelles programmes de distribution de nourritures. Il a bâti des parcs er des stades de football dans les régions les plus démunies et pauvres de la Colombie.
Toutes ses activités en faveur des pauvres lui ont valu le surnom de « Robin Hood », soit Robin des Bois.
Enfin, il a construit un nombre innombrable de maisons pour des personnes pauvres de pays. Si’l y a un village qui porte son nom, c’est simplement parce que c’est lui qui l’aurait financé entièrement, créant de l’emploi et des logements aux démunis.
Il n’a jamais oublié d’où il venait.
Peu de politiques peuvent se vanter d’avoir été aussi généreux. Bon, après ils n’ont pas forcément tout l’argent que possédait Escobar..mais tout de même!
Si vous vouliez savoir pourquoi tant de personnes ont pleuré sa mort, eh ben, sachez que c’est principalement pour cela;
Certes, certaines entreprises ouvrent des fondations mais rares sont les entrepreneurs qui donnent de leurs propres fonds pour des causes qui les touchent. La plupart du temps, lorsqu’ils le font, c’est soit en raison d’avantages fiscaux, soit pour faire parler d’eux en bien? C’est plutôt pathétique, on est d’accord.
7. L’ambition et la persévérance
Grande planification, excellente exécution et persévérance implacable:
Escobar avait un plan de réussite et il l’a suivi coute que coute.
Même si sa soif insatiable de pouvoir et d’argent l’a amené à vouloir faire de la politique et donc à préciser sa chute, son ambition est propre aux grands de ce monde.
Il est quand même passé des ghettos de Bogota à devenir le cerveau derrière le plus grand empire de la drogue au monde, amassant une fortune que peu de personnes sur terre ont parvenus à atteindre.
Et, malgré toues les difficultés, ce qu’on peut retenir, c’est qu’il n’a jamais abandonné
Là encore, c’est la plus grande leçon qu’un entrepreneur doit retenir.
Rien ne sera facile, il y aura des obstacles mais sil faudra co tiquer.
Cela ne le dérangeait jamais que la DEA et l’armée colombienne soient là pour l’attraper Cela ne le dérangeait jamais ses rivaux qui étaient prêts à appuyer sur la gâchette si une opportunité se présentait. Cela ne le dérangeait jamais que la mort se cache à chaque coin de rue. Il avait mis en place un plan et il a fermement croyait que personne ne l’empêcherait d’y arriver.
Et, ce que vous devez retenir dans cette leçon, c’est que vous aussi, malgré les obstacles qui vont se lever entre vous et votre rêve ne lâchez pas l’affaire.
Alors voilà, cette vidés s’achève sur cette dernière leçon qui est certainement la plus essentielle de toutes.
Vous ne deviendrez peut-être pas le prochain Escobar, (en fait, j’espère que cela ne vas pas vous donner envie de vos laisser pousser la moustaches pour devenir un bandit de renom).
mais cela vis aidera certainement à avancer un peu mieux votre projet, qu’importe de ce qu’il s’agit.
Et, je vous dis and bon courage et à bientôt!
Voir la vidéo :