Écoutez, nous sommes en 2020, et même si on a connu une crise sans précédent ( je parle bien sûr du covid), nous sommes dans une époque bienheureuse pour le business.
Je parle surtout du business en ligne, hein, mais je pense que vous m’avez comprise. Alors, vous savez, j’ai regardé mes analyses de trafic sur ce blog et j’ai ma confirmation. Ce qui intéresse le plus les personnes qui viennent sur mon blog, ce sont les possibilités de business. Les articles qui sont les plus lus restent ceux qui parlent des meilleurs business en ligne à créer en 2020, ça c’est sûr. Et les autres articles sont aussi liés au business.
J’ai donc décidé de vous écrire un article où je vous montre comme cela peut être très très facile. Je précise : long mais facile.
Voilà en tout cas, comment cela s’est passé pour moi et comment au final, j’ai crée un business qui rapporte sans m’éloigner de mes convictions.
Chapitre 1/ Le jour où j’ai gagné mon premier euro sur internet
Comme je l’ai un peu expliqué dans l’avant-propos, après mes études, j’ai très vite été tenté par la rédaction d’articles. Vous me direz, j’étais à la Sorbonne, et avec un master en Philo, en général, à part le professorat, l’écriture et la rédaction restent les débouchés principaux.
Bref, je commence par être pigiste puis étant attirée par le voyage, je tombe dans le digital nomadisme, presque malgré moi.
Bref, je découvre alors les plateformes de freelance alors qu’à l’époque c’était encore très flou et pas très connu. D’ailleurs, n’oubliez pas que lorsque je me suis lancée, le statut auto-entrepreneur n’existait pas encore! Bref, heureusement, deux ans après, je pouvais prendre ce statut et faciliter mon statut juridique.
Aussi, même le fait de gagner sa vie avec un business qui rapporte sur le net, n’était pas du tout connu encore à ce moment là.
Ce que j’ai aimé tout de suite, c’était bien sûr, la possibilité de travailler pour moi-même, de gérer ma toute petite entreprise depuis un bar ou un café. Le luxe ultime pour moi qui rêvait de liberté.
Eh oui, avant de vouloir un business qui me rapporte, ce que je voulais, c’était être libre de travailler pour moi, où je le voulais.
Le seul défaut, c’était les finances. J’étais très mal payé pour les articles et je ne trouvais pas beaucoup de clients.
Mais, vous le savez déjà, le plus dur, c’est d’avoir un premier client, ensuite, il vous suffit de persévérer. Le premier client est dur à obtenir mais il vous prouve que c’est possible. Gagner son premier euro sur le net, c’est jouissif en ce sens.
Ce qu’il faut piger, c’est que vous gagnez 0 ou 10000 euros par mois, le principe reste le même: vous apporter de la valeur à une personne qui est prête à payer pour ça.
Que ce soit la création de logo, la rédaction d’article, le community management, le plus important, c’est qu’on vous paye. Vous payer bien, c’est autre chose. Cela demande une certaine habilité commerciale, mais ça s’apprend avec le temps.
Alors, si je devais donner une seule piste à une personne qui voudrait construire son business en ligne ou gagner de l’argent, ce serait ça : Développez une compétence.
Même si vous ne pensez avoir rien de spécial à vendre, il y a toujours quelque chose que vous ne soupçonnez pas de prime abord. Vous pouvez être ne serait-ce que le community manager d’une boite et être payé pour cela. Car, ça, tout le monde peut le faire. Et, bien sûr, mieux vous le ferez ( de façon pro avec de bonnes techniques), mieux vous serez payé. Mais, si vous débutez, les petits commerçants ont besoin de petites tâches sur les réseaux sociaux. Croyez-moi, c’est à la portée de tout le monde.
Avec le temps, vous deviendrez meilleur, vous apprendrez de nouvelles choses, vos clients vont vous en apporter d’autres, etc. C’est comme cela que ça se passe. Ne pensez pas que vous ne pouvez pas vous frayez un chemin dans cette jungle.
Vous pouvez tout à fait le faire.
Chapitre 2/ Le jour ou j’ai gagné plus.
Oui, même si ma carrière de rédactrice freelance a été souvent chamboulé. En effet, à côté de la rédaction, j’ai monté deux startups. J’en ai foirée une et l’autre , ça été un succès prématurée. J’y reviendrais dessus dans un autre article, si ça vous intéresse.
Mais, bref, au final, je suis quand même revenu à ma carrière de freelance, véritable socle dans mon parcours professionnel. Quand je voulais gagner de l’argent, je réactivais mes profils sur les plateformes et je faisais mon beurre. Les startups m’ont coûté beaucoup de temps et d’argent, c’est pour cela que j’ai préféré revenir à mon statut de freelance. D’ailleurs, j’en ai profité pour switcher et je suis devenue consultante pitch deck. J’aidais alors les startups à améliorer et à créer des pitchs deck qui tue étant donné que j’avais bien appris avec mon expérience.
Bref, c’était bien mais alors j’ai jamais autant travaillé de ma vie! Franchement, ça m’arrivait très souvent de faire 12heure de boulot dans la journée, de bouffer mes week-ends etc. Bref, j’ai vraiment beaucoup beaucoup travaillé. J’arrivais à gagner entre 3 et 4 k par mois, mais j’étais épuisée. É-pui-sée.
Alors voilà, le jour où j’ai gagné plus, c’était le jour où j’avais des compétences solides et où je facturais plus cher. Je facturais non pas à l’heure mais à la prestation, je tiens à le préciser.
Pour conclure ce paragraphe, je dirais que je gagnais plus, mais que je bossais plus. J’avais toujours la possibilité de travailler depuis mon lit ou un café, mais je n’avais plus le temps de me reposer.
C’est ça que je retiens de cette époque.
C’est aussi à partir de ce moment là que je commençais à rêver d’avoir un business qui rapporte, un business automatique…Mais, je n’y étais pas encore…
Chapitre 3/ Le jour ou j’ai tout perdu
Comme j’étais fatiguée, je commençais à chercher un moyen d’automatiser un peu mon process. Je savais que je voulais pas créer de boites, car mon expérience en tant que CEO de startup m’avait montré les limites d’une telle vie.
Trop de responsabilité, trop de charges, trop de pression etc. Ce n’était pas pour moi. Je suis assez sauvage et je déteste avoir de trop grandes responsabilités. Ce n’est pas pour tout le monde et gérer une startup, ce n’est définitivement pas pour moi, même si j’en ai les capacités. Je n’en ai pas le goût pour vous le dire franchement.
Bref, je commence à chercher et l’idéal pour moi à ce moment là, d’embaucher une personne, rien qu’un pour m’aider à faire les pitchs. Eh oui, j’ai des clients, beaucoup et pour me décharger, il me fallait un bras droit.
Je fais mes recherches et je trouve un gars…il s’avère que cela me prend dix fois plus de temps que lorsque je faisais seule. Là encore, je me retrouve avec délais, pression et formation de mon nouvel employé.
Cela dit, ça me déchargeait quand même, je dois être honnête. D’ailleurs, monter un business qui rapporte passe nécessairement par la délégation.
Donc, au moment où tout commence à rouler pour moi, il se passe une petite merde…Oui, et même une grosse.
Je ne m’attendais pas du tout, mais alors pas du tout à ça!!
En fait, pour une raison légèrement complexe, mon compte est désactivé de la plateforme. Je fais tout, mais tout pour le réactiver, mais ils restent intransigeant.
Du jour au lendemain, je perd tout. Ma principale source de revenu, mes clients, mes avis, mes recommandations, mes 5 étoiles, mon profil actif depuis 5 ans!
Bref, c’est l’effondrement total.
J’étais à 2 doigts de me créer un business qui rapporte, en faisant quelque chose que j’aime et avec un employé pour m’aider. C’était le rêve en fait pour moi, et c’était un vrai bon business.
Mais, là plus rien…
J’ai pas le choix.
Je dois tout recommencer…
Chapitre 4/ Le jour ou j’ai rebondi
Franchement, ça été une période atroce. J’ai du me détacher de mon premier employé. Mes comptes étaient gelées. Et, j’avais tellement galéré pour arriver à là, que la seule idée de tout devoir recommencer me tuer à petit feu.
Mais, je l’ai quand même fait. J’ai recrée un profil et j’ai commencé en tant que débutante, après 5 ans d’expérience.
Seulement, malgré mes efforts, je n’avais plus du tout la fougue. Mon profil était récent et les clients ne voulaient pas forcément travailler avec moi. Je n’avais pas d’avis, pas de recommandation clients.
J’avais rien que ma foi.
Bref, je recommence donc, encore plus épuisée qu’auparavant. Je comprends à quel point les plateformes peuvent être cruels avec les freelancers.
J’ai le dégoût et la nausée.
Mais, en voyant que l’argent ne coulait pas à flot, je me dis encore une fois qu’il faut que je me bouge de nouveau.
Encore!!!
Chapitre 5/ Le jour ou j’ai lancé mes blogs
Voilà, avec mon expérience douloureuse, finalement, je ne pouvais conclure qu’à 2 choses:
- Ne jamais avoir qu’une seule source de revenue
- Ne jamais dépendre entièrement d’une plateforme unique.
C’est là que je me suis dit, cocotte, faut te tourner vers les business en ligne ou en tous les cas, améliorer tes sources de revenus.
Je décide donc de relancer mes blogs.
Ah! Et, là je commence à respirer!
Bon, ça n’a pas été non plus facile, car je devais bosser à côté et bosser sur mes blogs. Mais, là, j’étais déterminée sa race à réussir.
J’étais motivée à écrire des articles pour moi ( et plus seulement pour mes clients); Je voulais avoir des articles qui me rapportent sur le long terme. Bref, j’étais sûr que c’était exactement ça que je voulais. Maintenant, demain, toujours.
Ça m’a d’ailleurs aidé à me sentir mieux dans ma peau, mais ça j’en parlerais plus tard. C’est néanmoins très important.
Chapitre 6/ Le jour ou les blogs me rapportent des revenus passifs.
Là, avec mes blogs, ce que je cherche, c’est de créer des business en automatique. Je vends des produits avec l’affiliation. Je fais des partenariats sponsorisés.
Et quelques un de mes blogs m’ont générer des revenus très légers, mais passifs!!
Sérieusement, je jubile à ce moment là, mais vraiment!
Je me souviens encore de ce mail qui me disait que je venais de recevoir un montant d’affiliation.
Même si je gagne peu, je vois le potentiel énorme que j’ai devant mes pieds. Alors je bûche comme une folle! Je publie régulièrement, j’écris des longs articles et même la nuit.
Bref, je veux réussir, je n’ai pas le choix.
Pourquoi? J’ai des ambitions et je veux ma maison de type maison d’Ibiza avec piscine. Oui, moi aussi, je suis une rêveuse et je veux y parvenir.
Du coup, je me lance à fond dans le blogging. Je savais pertinemment que le blog pouvait être un business qui rapporte, en soi.
À ce moment, je n’ai qu’une idée en tête, qu’un objectif : en vivre.
Alors, je commence par l’affiliation. J’aime beaucoup l’affiliation et ce que j’aime, c’est qu’on peut en faire pour tout.
Je veux dire qu’importe votre niche, vous trouverez bien des programmes qui vous correspondent.
Dans mon cas, j’ai un peu galéré au début car je me cramponnais trop sur Amazon. Donc je gagnais rien..
Quand j’ai commencé à faire de l’affiliation sur de gros programmes, c’est là où tout à changé pour moi.
Bref, je commençais à gagner, peu, mais en mode automatique grâce à quelques articles.
Maintenant, pour gagner plus, je devais vraiment automatiser et élaborer de meilleures stratégies.
Chapitre 7/ Le jour ou j’automatise le tout
Vous savez pour réussir un blog, souvent, en plus de la qualité, c’est du temps qu’il vous faudra. Plus votre blog sera ancien, plus vous gagnez en visibilité, etc. Votre trafic monte, vous savez quels sont les programmes affiliés qui rapportent le plus. Vous avez votre liste email qui grossit, etc.
Bref, votre blog s’impose sur la blogosphère.
Alors, là je décide comme beaucoup de mes confrères ( avec lequel je ne partage pas les moitié des techniques et des valeurs) de lancer mes formations.
Je gagne avec mon blog, les gens me demandent comment faire. Naturellement je me lance. Je sais qu’il y a beaucoup de marketeurs qui se lancent en même temps que leurs formations. Ils commencent dans leurs chambres étudiantes à vendre des formations puis on les voit exposer des montres qui coûtent un bras. Au moins, ils ont pris des raccourcis, vous me direz. À 23 ans, il roulent en Porsche, et bon…Tant mieux pour eux. Je n’ai pas trop envie de polémiquer ici.
Pour moi, je me sentais pas de faire ça. C’est venu avec le temps, par la force des choses j’ai envie de dire.
Parce qu’au final, les gens ont trouvé mon travail et ont commencé à me poser des questions. Même lorsque je me balladais dehors et que je disais que je travaillais en ligne.
Puis, j’ai eu envie de créer un blog pour expliquer mon parcours.
Naturellement, j’en suis venue à créer ce blog.
Mon objectif à l’origine était simplement d’en faire un journal d’entrepreneur ou quelque chose dans le genre.
C’est ça que je voulais faire sans prétention aucune. C’est donc après que j’ai crée ce blog Travail-Nomad mais j’avais pas en tête d’en faire un business qui me rapporterait de l’argent. Pourtant, je ne suis pas une ermite et je sais que c’est une niche qui peut rapporter gros.
Bref, je ne suis pas assez satisfaite de ce que font les autres dans ce domaine, donc j’avais du mal à me dire que je ferais pareil…Et, clairement, c’est impossible pour moi.
J’avais accumulé plus de 7 ans dans l’entreprenariat en ligne. Des business j’en ai fait, j’en ai essayé beaucoup même si je ne dis pas tout ici. Oui, quand j’écris cet article, je vous épargne les nombreuses tentatives infructueuses, comme mes sites ecommerces etc.
Car vous pensez bien que je n’ai pas trouvé tout de suite ce que je voulais faire. Ça a été mon plus grand frein d’ailleurs…
D’ailleurs, c’est pourquoi le ebook que j’offre dans ce blog, c’est un blog qui met à plat tous les business en ligne qui existent. C’est aussi pourquoi j’insiste beaucoup pour que l’on choisissent le bon business.
On est très souvent influencé par un petit gars qui va nous dire que telle ou telle chose est mieux. Alors, qu’en fait, chaque business est différent et on doit trouver celui qui nous correspond le mieux.
C’est comme ça que j’ai décidé de créer des formations sur Udemy dans un premier temps, pour mieux répondre aux questions que je recevais.
J’aimais bien le côté super passif de Udemy. J’ai crée plusieurs formations et dans différents domaines ( en usant un autre nom que Ines Rubix).
Bon, comme j’ai décidé d’être transparente, il faut savoir que vendre des formations sur Udemy ne vous rendra pas riche.
Souvent les gens n’achètent que lorsqu’il y a une grosse promotion et du coup, je ne touche que 2 euros sur une formation qui m’a pris 20 jours de travail.
C’est exactement la même formation que d’autres personnes vendent 297 euros ou même 1000 euros!
Mais, bon, tout ça c’est une question de valeur. Vendez au prix que vous jugez bon et honnête et accessible à votre audience, surtout.
Je vais ici vous faire une petite confidence : Gagner beaucoup d’argent avec son business en ligne, ce n’est pas avoir beaucoup de clients, c’est avoir des produits chers.
C’est à vous de décider en tout bonne conscience de ce que vous voulez. Un business qui rapporte…Ok, mais combien voulez-vous?
Je gagne environ et cumulé ( plusieurs formations) sur Udemy environ 1000 dollars ( entre 500 et 900 par mois) et cela me convient.
Puis, je gagne environ 1000 avec mes prestations de freelance ( ce qui fait que je continue quand même de travailler, hein^).
Mes autres blogs me rapportent environ 2000 euros grâce à l’affiliation. Oui, les blogs avec affiliation, même si c’est difficile, c’est clairement pour moi le top des business qui rapporte en automatique.
J’ai conscience que ça devient de plus en plus difficile.
Puis, les formations pour moi, c’est un plus pour palier à mes différents frais.
Je ne me sens pas de vendre des formations trop chères pour rien. Vraiment, cela dépend des gens. Moi, je me sens plus à l’aise comme cela.
Je veux dire, j’ai d’autres compléments de revenus grâce à mes blogs et le tout me fait un joli salaire de 4000 euros et plus. J’en suis satisfaite.
Parfois, je ne comprends pas ces gars qui cherchent à gagner 80 000 euros chaque mois. C’est vraiment une question de caractère vous me direz.
À vous de trouver votre objectif.
Moi, si je veux gagner plus, je peux simplement vendre mes formations directement avec mon blog en les créant sur LearnyBox par exemple.
C’est clair que c’est ce que je conseille à tout le monde qui veut gagner de l’argent et qui veut créer un business qui rapporte de l’argent de façon conséquente.
La première chose que vous remarquerez peut-être, c’est qu’aucun de ces montants n’est gravé dans le marbre. C’est très fluctuant. Si demain, je veux gagner plus, alors je chercherais à vendre plus. Contrairement à un salaire, il y a une certaine variabilité ici.
Certains mois peuvent être plus élevés et certains mois peuvent être inférieurs. Ce sont les joies de tout business vous me direz.
Sinon en automatique, cela me convient, je n’ai qu’à travailler légèrement pour maintenir mon cash flow.
Conclusion : à vous de trouver d’écrire vos chapitres pour créer un business qui rapporte
Voilà, je vous ai un peu raconté en surface comment j’ai finalement crée au bout de 3 ans, un business qui rme ressemble et qui est rentable.
Un business qui ne me fait pas surexagérer, qui ne me pousse pas à harceler les personnes inscrites à ma liste email, qui ne me pousse pas à devenir un marchand de tapis cupide.
🙂 Sinon… il est temps de créer votre propre opportunité.
Avant de faire un seul euro en ligne, j’ai passé plusieurs mois à créer des choses et à les publier un peu partout, à développer des compétences, à ne rien faire à part apprendre.
C’était ma forme d’apprentissage. Vous voyez, quand j’ai commencé, les choses que je créais n’étaient pas si bonnes.
Et il en ira de même pour vous. Lorsque vous commencez, vous manquerez de compétences, c’est certain.
C’est bon. Tout le monde passe par là.
Mon secret? Une foi aveugle dans tout ce que je faisais finirait par porter ses fruits. Je savais que je finirais par créer un business qui rapporte et qui me plairait.
N’oubliez pas: créer votre propre entreprise en ligne signifie créer de la valeur pour les autres d’une manière ou d’une autre.
Pour moi, c’est sous forme de vidéos et d’articles. Pour vous, ce sera certainement cela aussi. Peut-être uniquement les vidéos car Youtube est vraiment un eldorado.
Ne réfléchissez pas trop. Agissez.
Aussi, si le fait de créer un business en ligne, vous intéresse, inscrivez-vous à la newsletter 😉